Confinement, couvre-feu, distanciation sociale... les jeunes n'ont pas le moral. Ils se sentent punis.
Ils n'ont jamais été aussi déprimés et angoissés qu'aujourd'hui !
Leur monde s'est écroulé. Cette période est très mal vécue par nos jeunes qui s'identifient et se construisent à travers les copains. Ne plus pouvoir sortir, aller au bar, au resto, faire de nouvelles rencontres, s'éclater entre copains, tout cela devient l'enfer.
Enfermés dans leur chambre d'étudiants devant leur ordinateur avec quelques photos accrochées au mur leur rappelant les bons moments où ils pouvaient profiter de la vie et avoir l'impression d'exister tout simplement. Cela fait combien de temps ? Où est le bout du tunnel ?
Et c'est ainsi que la monotonie s'installe, le vide, l'envie de rien....certains symptômes apparaissent : des difficultés à dormir, la perte d'appétit ou à l'inverse le grignotage, des difficultés à respirer, l'envie de pleurer, de l' angoisse.
La fatigue et l'épuisement s'installent de manière progressive et se caractérise par une perte d'énergie et de motivation, jusqu'au jour où il n'y a plus de réserve pour faire face à ce stress.
Ces jeunes gens, déprimés, parfois au bord du gouffre, ont besoin d'être d'écoutés, rassurés. Ils ont besoin qu'on les aide à prendre du recul afin qu'ils puissent remonter la pente.
La sophrologie va permettre de les libérer des pensées négatives, ne plus se focaliser sur les éléments négatifs et apprendre à surmonter ce stress.
C'est une méthode simple et facile à mettre en place qui permet de remobiliser ses capacités et ressources intérieures pour mieux faire face aux difficultés de la vie d'une manière adaptée et pertinente.
Privilégier le positif c'est :
- aller vers le bon plutôt que de se torturer.
- honorer la joie plutôt que la tristesse et les idées sombres.
- trouver en soi la sérénité plutôt que la révolte et la colère.
